en pré et post opératoire
2 posters
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en pré et post opératoire
1. Soins infirmiers pré-opératoires
J -1
1.1. Accueil de la personne et installation
Se présenter, présenter le service et les locaux, installer dans la chambre.
Informer le patient du déroulement de son hospitalisation et répondre à ses questions.
1.2. Bilan
Sanguin : prescrit par le médecin anesthésiste lors de la consultation en cas de chirurgie programmée ou par le chirurgien lors d'une entrée en urgence.
Ionogramme sanguin avec notamment potassium, sodium, urée et créatinine pour apprécier une éventuelle déshydratation après la purge (préparation colopeg ou fleet soda). En effet, il y a un risque de déséquilibre hydro-électrolytique.
Bilan hépatique et/ou bilan pancréatique en fonction de la chirurgie.
NFP : pour posséder une NFP de référence et apprécier le risque d'hémorragie digestive.
Bilan de coagulation : avant toute chirurgie et en fonction des antécédents.
Groupage 1 et 2 et ACI valides pour pouvoir faire face à une transfusion en urgence en cas d'hémorragie massive.
Radiologique : Souvent une radio pulmonaire est demandée pour faciliter l'intubation du médecin anesthésiste et apprécier l'absence de malformation et l'état pulmonaire.
Cardiaque : un ECG peut être demandé en fonction de l'âge du patient, de ses antécédents.
Respiratoire : EFR (Epreuve Fonctionnelle Respiratoire) réalisée en fonction de la voie d'abord chirurgicale (si thoracotomie) et prise en charge respiratoire par le kinésithérapeute.
Clinique : Prise des constantes (pouls, tension artérielle, température)
Complémentaire : à type de scanner, échographie, radiographie…
Infectieux : bandelette urinaire systématique pour apprécier l'absence d'infection pré-op + prise de la température.
1.3. Préparation physique
Dépilation et douche bétadinée, enlever vernis à ongles, bijoux, piercing.
Préparation colique par purge en fonction de la chirurgie : colopeg ou fleet soda jusqu'à l'obtention de selles couleur champagne.
Immuno-nutrition pour permettre aux patients de faire face à une chirurgie lourde et à une perte de poids prévisible tout en diminuant les complications post-opératoires (impact*).
antibioprophylaxie de moins en moins courante.
à jeun à 0h00.
alimentation de la veille au soir adaptée en fonction de l'intervention, BAV ou léger en fonction de la chirurgie.
J 0
1.4. Le matin de l'intervention
Seconde douche bétadinée + chemise d'opéré + lavage dents + bas de contention.
Enlever appareil dentaire, bijoux, piercing.
Faire uriner pour éviter qu'il ne se lève ensuite.
Donner la prémédication souvent à base d'Atarax* et de Xanax* pour détendre et endormir et Raniplex* pour protéger la paroi gastrique et limiter le risque de reflux.
Récupérer les Groupages et ACI piqués la veille.
Vérifier la totalité du dossier médical.
Départ au bloc.
1.5. Durant l'intervention
Nettoyage de la chambre, aération.
Préparation du matériel nécessaire lors du retour de bloc. A savoir matériel à oxygène toujours nécessaire, potence à perfusion qui roule, aspiration si nécessaire.
2. Soins infirmiers post-opératoires
2.1. Surveillance et Prise en charge de la Douleur
La douleur est liée à la fois à l'intervention chirurgicale, à la laparotomie ou à la coelioscopie puis dans les jours suivants (J2-J3) à la reprise du transit.
Actions à mettre en place :
Evaluation de la douleur : EVA, EN, EVS.
Ecoute des plaintes, surveillance du faciès…
Etude de la consommation en antalgiques grâce à la PCA ou la PCEA.
Education, information du patient et surveillance toutes les 4 heures si PCA ou PCEA.
Mise en place des antalgiques prescrits et surveillance de leur action, leur efficacité et l'absence d'effets secondaires.
Mise en place de vessie de glace sur la cicatrice.
Installation confortable dans le lit.
Contention abdominale avec une ceinture lors des mobilisations.
Apprécier la reprise du transit.
Proposer des massages pour les douleurs dorsales, conséquence de la position allongée et lever précoce.
2.2. Surveillance du Risque Hémorragique
Surveillance clinique du faciès, des conjonctives, de la tension artérielle, du pouls.
Surveillance locale du pansement (ne pas hésiter à délimiter le saignement à J0 avec un marqueur sur les compresses).
Surveillance des drainages : apprécier la quantité du liquide, l'aspect, la coloration, l'aspiration ou le siphonage.
2.3. Surveillance de la fonction respiratoire
Risque de dépression respiratoire lié à l'utilisation des morphiniques, risque de pneumopathie lié à l'alitement et à la douleur, risque d'épanchement pleural lié à l'intervention chirurgicale.
Actions à mettre en place :
Surveillance de la fréquence respiratoire et de la saturation en oxygène.
Apprécier la présence de dyspnée, de polypnée et en avertir le médecin.
Surveillance de l'encombrement respiratoire.
Stimuler le patient à la mobilisation et à la position assise.
Prise en charge par la kinésithérapeute.
Education à la toux et aux expectorations (se tenir le ventre pour avoir moins mal et plier les jambes).
2.4. Risque de Nausées et Vomissements
Liés à l'intervention chirurgicale, aux effets secondaires des traitements antalgiques ou antibiotiques, à une possible stase gastrique consécutive de l'iléus paralytique post-opératoire.
Actions à mettre en place :
Si SNG en place : surveiller l'écoulement, la couleur, l'aspect, la quantité, vérifier l'étanchéité et le positionnement. Surveiller également si elle doit être en aspiration ou en siphonage (selon la prescription médicale).
Lever le patient et l'installer au fauteuil en position assise ou lui proposer la position demi-assise au lit.
Ablation de la SNG sur prescription médicale.
Utiliser les antiémétiques prescrits.
Proposer des soins de bouche.
2.5. Risque de lâchage de sutures internes avec risque de péritonite et externe avec éviscération
Lié à l'intervention chirurgicale, à un défaut de cicatrisation, à des efforts importants au niveau des abdominaux
Surveillances et actions :
Surveillance des douleurs, si elles sont plus importantes que d'habitude et impossibles à calmer avec les antalgiques ne pas hésiter à contacter l'anesthésiste ou le chirurgien.
Surveillance de la température, du pouls, de la tension artérielle.
Surveillance des écoulements au niveau des différents drainages. Penser à signaler toute différence notable par rapport aux jours précédents.
Palpation abdominale.
Surveillance du pansement.
2.6. Surveillance du risque infectieux
Lié à la chirurgie, à la laparotomie ou à la coelioscopie et aux différentes portes d'entrées.
Surveillances et actions :
Surveillance de la température.
Surveillance et réfection du pansement tous les deux jours selon protocole du service et utilisation du protocole bétadine en priorité.
Surveillance de l'aspect des liquides de drainages et de l'écoulement.
Surveillance et changement des redons de manière régulière et avec asepsie.
Surveillance des voies veineuses périphériques (changement toutes les 72 heures) et centrales (pansement tous les 7 jours pour les VVC, changement d'aiguille tous les 7 jours pour les PAC).
Protocole antibiotique sur prescription médicale.
Surveillance de la SAD, petite toilette, aspect et odeur des urines.
2.7. Surveillance de la reprise du transit
Risque de stase gastrique et de non reprise du transit à cause de l'iléus paralytique post-opératoire.
Surveillances et actions :
Apprécier la reprise du transit : s'assurer de l'apparition de gaz vers le troisième – quatrième jour puis des selles vers les 5ème – 6ème jours.
Surveiller l'absence de météorisme abdominal, d'éructations, de douleur.
Proposer des vessies de glace.
Vérifier la souplesse du ventre.
Mettre en place les prescriptions médicales de Débridat* entre autres.
2.8. Risque de fistule digestive
Lié à l'intervention chirurgicale :
Surveillances et actions :
Surveillance des douleurs abdominales.
Surveillance des drainages.
Surveillance de la température.
Préparer le patient pour les examens complémentaires prescrits comme le scanner ou l'échographie abdominale.
2.9. Risque de dénutrition
Lié à l'absence de nutrition entérale le temps de la cicatrisation et pouvant entraîner un retard de cicatrisation.
Surveillances et actions :
Peser les patients une fois par semaine voire plus selon la prescription médicale.
Surveiller l'albuminémie et la préalbuminémie sur prescription médicale.
Compenser l'absence d'alimentation entérale par une alimentation parentérale comprenant des acides aminés, des lipides et du glucose.
Reprendre l'alimentation progressivement sur prescription médicale.
Envisager dans un deuxième temps une alimentation entérale conservant l'utilisation du tube digestif soit par la SNG soit par gastrostomie ou jéjunostomie.
2.10. Risque de déséquilibre hydro-électrolytique
Lié à l'absence d'alimentation durant les premiers jours consécutifs à l'intervention chirurgicale
Surveillances et actions :
Hydratation par VVC ou VVP jusqu'à reprise suffisante de l'alimentation (BBC ou DA).
Adaptation des réas et des ions en fonction des résultats du ionogramme sanguin selon les prescriptions du médecin anesthésiste.
Faire le bilan des entrées et des sorties d'autant plus important que les drainages donnent abondamment.
Surveillance clinique de signes de déshydratation (pli cutané, sécheresse des muqueuses).
Surveillance du poids.
2.11. Risque thrombo-embolique
Lié à l'alitement, à l'intervention chirurgicale et aux difficultés de mobilisation
Surveillances et actions :
Surveillance de l'absence de signes de phlébite et d'embolie pulmonaire.
HBPM sur prescription médicale.
Lever précoce à J1.
2.12. Altération de la mobilité
Liée à l'intervention chirurgicale, aux douleurs et à l'alitement se manifestant par des difficultés à assurer les gestes de la vie quotidienne et une perte d'autonomie.
Actions :
Aide partielle à la toilette.
Stimulation et éducation au lever.
Privilégier le retour à l'autonomie de la personne soignée.
Aide à l'élimination urinaire et fécale.
Prise en charge par la kinésithérapeute.
Mise à disposition du matériel de la vie courante.
Préventions d'escarres.
J -1
1.1. Accueil de la personne et installation
Se présenter, présenter le service et les locaux, installer dans la chambre.
Informer le patient du déroulement de son hospitalisation et répondre à ses questions.
1.2. Bilan
Sanguin : prescrit par le médecin anesthésiste lors de la consultation en cas de chirurgie programmée ou par le chirurgien lors d'une entrée en urgence.
Ionogramme sanguin avec notamment potassium, sodium, urée et créatinine pour apprécier une éventuelle déshydratation après la purge (préparation colopeg ou fleet soda). En effet, il y a un risque de déséquilibre hydro-électrolytique.
Bilan hépatique et/ou bilan pancréatique en fonction de la chirurgie.
NFP : pour posséder une NFP de référence et apprécier le risque d'hémorragie digestive.
Bilan de coagulation : avant toute chirurgie et en fonction des antécédents.
Groupage 1 et 2 et ACI valides pour pouvoir faire face à une transfusion en urgence en cas d'hémorragie massive.
Radiologique : Souvent une radio pulmonaire est demandée pour faciliter l'intubation du médecin anesthésiste et apprécier l'absence de malformation et l'état pulmonaire.
Cardiaque : un ECG peut être demandé en fonction de l'âge du patient, de ses antécédents.
Respiratoire : EFR (Epreuve Fonctionnelle Respiratoire) réalisée en fonction de la voie d'abord chirurgicale (si thoracotomie) et prise en charge respiratoire par le kinésithérapeute.
Clinique : Prise des constantes (pouls, tension artérielle, température)
Complémentaire : à type de scanner, échographie, radiographie…
Infectieux : bandelette urinaire systématique pour apprécier l'absence d'infection pré-op + prise de la température.
1.3. Préparation physique
Dépilation et douche bétadinée, enlever vernis à ongles, bijoux, piercing.
Préparation colique par purge en fonction de la chirurgie : colopeg ou fleet soda jusqu'à l'obtention de selles couleur champagne.
Immuno-nutrition pour permettre aux patients de faire face à une chirurgie lourde et à une perte de poids prévisible tout en diminuant les complications post-opératoires (impact*).
antibioprophylaxie de moins en moins courante.
à jeun à 0h00.
alimentation de la veille au soir adaptée en fonction de l'intervention, BAV ou léger en fonction de la chirurgie.
J 0
1.4. Le matin de l'intervention
Seconde douche bétadinée + chemise d'opéré + lavage dents + bas de contention.
Enlever appareil dentaire, bijoux, piercing.
Faire uriner pour éviter qu'il ne se lève ensuite.
Donner la prémédication souvent à base d'Atarax* et de Xanax* pour détendre et endormir et Raniplex* pour protéger la paroi gastrique et limiter le risque de reflux.
Récupérer les Groupages et ACI piqués la veille.
Vérifier la totalité du dossier médical.
Départ au bloc.
1.5. Durant l'intervention
Nettoyage de la chambre, aération.
Préparation du matériel nécessaire lors du retour de bloc. A savoir matériel à oxygène toujours nécessaire, potence à perfusion qui roule, aspiration si nécessaire.
2. Soins infirmiers post-opératoires
2.1. Surveillance et Prise en charge de la Douleur
La douleur est liée à la fois à l'intervention chirurgicale, à la laparotomie ou à la coelioscopie puis dans les jours suivants (J2-J3) à la reprise du transit.
Actions à mettre en place :
Evaluation de la douleur : EVA, EN, EVS.
Ecoute des plaintes, surveillance du faciès…
Etude de la consommation en antalgiques grâce à la PCA ou la PCEA.
Education, information du patient et surveillance toutes les 4 heures si PCA ou PCEA.
Mise en place des antalgiques prescrits et surveillance de leur action, leur efficacité et l'absence d'effets secondaires.
Mise en place de vessie de glace sur la cicatrice.
Installation confortable dans le lit.
Contention abdominale avec une ceinture lors des mobilisations.
Apprécier la reprise du transit.
Proposer des massages pour les douleurs dorsales, conséquence de la position allongée et lever précoce.
2.2. Surveillance du Risque Hémorragique
Surveillance clinique du faciès, des conjonctives, de la tension artérielle, du pouls.
Surveillance locale du pansement (ne pas hésiter à délimiter le saignement à J0 avec un marqueur sur les compresses).
Surveillance des drainages : apprécier la quantité du liquide, l'aspect, la coloration, l'aspiration ou le siphonage.
2.3. Surveillance de la fonction respiratoire
Risque de dépression respiratoire lié à l'utilisation des morphiniques, risque de pneumopathie lié à l'alitement et à la douleur, risque d'épanchement pleural lié à l'intervention chirurgicale.
Actions à mettre en place :
Surveillance de la fréquence respiratoire et de la saturation en oxygène.
Apprécier la présence de dyspnée, de polypnée et en avertir le médecin.
Surveillance de l'encombrement respiratoire.
Stimuler le patient à la mobilisation et à la position assise.
Prise en charge par la kinésithérapeute.
Education à la toux et aux expectorations (se tenir le ventre pour avoir moins mal et plier les jambes).
2.4. Risque de Nausées et Vomissements
Liés à l'intervention chirurgicale, aux effets secondaires des traitements antalgiques ou antibiotiques, à une possible stase gastrique consécutive de l'iléus paralytique post-opératoire.
Actions à mettre en place :
Si SNG en place : surveiller l'écoulement, la couleur, l'aspect, la quantité, vérifier l'étanchéité et le positionnement. Surveiller également si elle doit être en aspiration ou en siphonage (selon la prescription médicale).
Lever le patient et l'installer au fauteuil en position assise ou lui proposer la position demi-assise au lit.
Ablation de la SNG sur prescription médicale.
Utiliser les antiémétiques prescrits.
Proposer des soins de bouche.
2.5. Risque de lâchage de sutures internes avec risque de péritonite et externe avec éviscération
Lié à l'intervention chirurgicale, à un défaut de cicatrisation, à des efforts importants au niveau des abdominaux
Surveillances et actions :
Surveillance des douleurs, si elles sont plus importantes que d'habitude et impossibles à calmer avec les antalgiques ne pas hésiter à contacter l'anesthésiste ou le chirurgien.
Surveillance de la température, du pouls, de la tension artérielle.
Surveillance des écoulements au niveau des différents drainages. Penser à signaler toute différence notable par rapport aux jours précédents.
Palpation abdominale.
Surveillance du pansement.
2.6. Surveillance du risque infectieux
Lié à la chirurgie, à la laparotomie ou à la coelioscopie et aux différentes portes d'entrées.
Surveillances et actions :
Surveillance de la température.
Surveillance et réfection du pansement tous les deux jours selon protocole du service et utilisation du protocole bétadine en priorité.
Surveillance de l'aspect des liquides de drainages et de l'écoulement.
Surveillance et changement des redons de manière régulière et avec asepsie.
Surveillance des voies veineuses périphériques (changement toutes les 72 heures) et centrales (pansement tous les 7 jours pour les VVC, changement d'aiguille tous les 7 jours pour les PAC).
Protocole antibiotique sur prescription médicale.
Surveillance de la SAD, petite toilette, aspect et odeur des urines.
2.7. Surveillance de la reprise du transit
Risque de stase gastrique et de non reprise du transit à cause de l'iléus paralytique post-opératoire.
Surveillances et actions :
Apprécier la reprise du transit : s'assurer de l'apparition de gaz vers le troisième – quatrième jour puis des selles vers les 5ème – 6ème jours.
Surveiller l'absence de météorisme abdominal, d'éructations, de douleur.
Proposer des vessies de glace.
Vérifier la souplesse du ventre.
Mettre en place les prescriptions médicales de Débridat* entre autres.
2.8. Risque de fistule digestive
Lié à l'intervention chirurgicale :
Surveillances et actions :
Surveillance des douleurs abdominales.
Surveillance des drainages.
Surveillance de la température.
Préparer le patient pour les examens complémentaires prescrits comme le scanner ou l'échographie abdominale.
2.9. Risque de dénutrition
Lié à l'absence de nutrition entérale le temps de la cicatrisation et pouvant entraîner un retard de cicatrisation.
Surveillances et actions :
Peser les patients une fois par semaine voire plus selon la prescription médicale.
Surveiller l'albuminémie et la préalbuminémie sur prescription médicale.
Compenser l'absence d'alimentation entérale par une alimentation parentérale comprenant des acides aminés, des lipides et du glucose.
Reprendre l'alimentation progressivement sur prescription médicale.
Envisager dans un deuxième temps une alimentation entérale conservant l'utilisation du tube digestif soit par la SNG soit par gastrostomie ou jéjunostomie.
2.10. Risque de déséquilibre hydro-électrolytique
Lié à l'absence d'alimentation durant les premiers jours consécutifs à l'intervention chirurgicale
Surveillances et actions :
Hydratation par VVC ou VVP jusqu'à reprise suffisante de l'alimentation (BBC ou DA).
Adaptation des réas et des ions en fonction des résultats du ionogramme sanguin selon les prescriptions du médecin anesthésiste.
Faire le bilan des entrées et des sorties d'autant plus important que les drainages donnent abondamment.
Surveillance clinique de signes de déshydratation (pli cutané, sécheresse des muqueuses).
Surveillance du poids.
2.11. Risque thrombo-embolique
Lié à l'alitement, à l'intervention chirurgicale et aux difficultés de mobilisation
Surveillances et actions :
Surveillance de l'absence de signes de phlébite et d'embolie pulmonaire.
HBPM sur prescription médicale.
Lever précoce à J1.
2.12. Altération de la mobilité
Liée à l'intervention chirurgicale, aux douleurs et à l'alitement se manifestant par des difficultés à assurer les gestes de la vie quotidienne et une perte d'autonomie.
Actions :
Aide partielle à la toilette.
Stimulation et éducation au lever.
Privilégier le retour à l'autonomie de la personne soignée.
Aide à l'élimination urinaire et fécale.
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sarihamid-
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Re: en pré et post opératoire
Merci pour le partage hamid .
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Re: en pré et post opératoire
De rien Nour
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