cas clinique

cas d’aujourd’hui
K un jeune homme dans la vingtaine , nous avait été envoyé par son thérapeute avec un diagnostic de suspicion de phobie sociale. il venait de terminer ses études dans une école rabbinique et un poste de rabbin lui avait été offert dans une synagogue d'une ville voisine. Cependant,il pensait ne pouvoir accepter ce poste à cause des importantes difficultés sociales dont il souffrait . il avait dernièrement renoncé à continuer de vivre dans le petit appartement qu'il possédait de peur de tomber sur des gens qu'il connaissait et d’être forcé d'interagir avec ces dernier.
k était un bel homme de homme de grandeur moyenne, cheveux noirs et yeux foncés . bien qu'il sembla quelque peu déprimé,un examen de état mental et une brève interview axée sur son fonctionnement actuel et passé ne révéla aucun problème important ni aucun signe de mécanismes psychotiques ( il n'était pas déconnecté de la la réalité ). Nous nous sommes alors concentrés sur ses difficultés sociales . Nous nous attentions aux types courants d'anxiétés associées à l'interaction avec d'autres ou au trac. Mais cela n’inquiétait pas K. Au lieu de cela, il était persuadé que tout le monde,y compré ses meilleurs amis,ne pouvaient s’empêcher de regarder les parties de physionomie que lui-même trouvait absolument grotesques. Selon lui, des étrangers n'auraient pas l'impolites se de lui en tenir propos et ses amis, trop prévenants, faisaient semblant de rien remarquer. K trouvait que son visage était carré comme celui de la Bête dans la belle et la bête et il ne pouvait s'imaginer qu'on
puisse réagir à sa vue autrement que par de la répulsion; impossible de ne pas étre frappé par cette tète cubique. pour cacher son "défaut" du mieux qu'il pouvait, K portait des chapeaux mous et n'attendais que l'hiver,saison pendant laquelle il pouvait abriter sa téte dans une cagoule de laine. K avait une apparence parfaitement normale.
1 - tableau clinique
2- diagnostic
3- diagnostic différentiel
4- cause et traitement