beauté des cheveux
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beauté des cheveux
Beauté des cheveux
Une belle chevelure n'est pas qu'un don de la nature, c'est aussi le témoin d'une bonne santé des cheveux. Cela veut donc dire éviter de l'agresser et aider à sa réparation et à son entretien. Il y a donc des principes simples de non agression et des principes simples d'entretien.
Mieux vaut donc les connaître avant de se jeter sur n'importe quel produit.
Premier principe : éviter les agressions
Lutter contre la séborrhée : utilisez des shampooings sans mousse ni détergents. Soigner l'acné dès le début.
Protéger ses cheveux : méfiez-vous du soleil et du vent. Évitez de vous mouiller les cheveux à la piscine ou à la mer : chlore et sel sont nocifs. Le bonnet de bain peut paraître ridicule mais il protège !
Brossez-vous avec une brosse douce, les cheveux étant secs. Commencez par la nuque puis de proche en proche vers le sommet du crâne. Pas plus de 3 brossages par jour. Mettez un jus de citron dans l'eau de rinçage du shampooing. Le sèche-cheveux doit être utilisé à moins de 1200 Watts.
Évitez : décoloration, permanentes, teinture, défrisage, brushing. Cela ne veut pas dire ne pas en faire, mais les limiter à 1 ou 2 par an.
Traiter les pellicules.
Bien choisir son shampooing. Un bon shampooing est non ionique, à base de polyglycérol ou de sorbitane polyoxyethylène, non moussant, contenant des amphotères (bétaïne lipoaminoacides). Si c'est du chinois pour vous, pas de problème, demandez au pharmacien et il saura vous conseiller.
Deuxième principe : entretenir la coiffure
Brossage des cheveux
Il faut brosser et peigner ses cheveux de la manière décrite précédemment, en utilisant un peigne aux dents arrondies ou une brosse douce. Pas plus de 3 fois par jour. Brosse et peigne doivent être nettoyés au savon. Pour la mise en plis évitez les rouleaux rigides.
Le lavage.
Il faut se laver les cheveux mais pas plus de 2 fois par semaine, même si les conditions extérieures l'exigent (poussière, sueur etc.). Utilisez les shampooings décrits précédemment en rinçant abondamment et en finissant par un jet d'eau froide additionnée d'un jus de citron. Il faut savoir également choisir son shampooing.
Voici les principaux types :
Shampooings fréquents : le mieux est le shampooing au bois de Panama ou au Henné neutre.
Shampooings pour bébé : ils ne conviennent que pour les bébés, pas pour les adultes.
Shampooings antiparasitaires surtout dirigés contre les poux. Ne pas les utiliser par ailleurs.
Shampooings secs : ils permettent d'espacer les lavages mais ne doivent en aucun cas les remplacer.
Shampooings pour cheveux secs. Ils ont une action détergente douce et des corps gras : huile d'amandes douces, de ricin, de jojoba.
Shampooings pour cheveux gras : ils sont peu détergents comme ceux à l'essence de cèdre, ou aux dérivés de la cystéine.
Shampooings pour pellicules : contenant du zinc ou du coaltar.
sarihamid-
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Re: beauté des cheveux
Produits d'embellissement des cheveux
Embellir ses cheveux repose sur deux types de produits : les produits de soin qui permettent de donner un aspect sain aux cheveux, les produits de beauté dont le but est d’embellir, indépendamment de la santé du cheveux, les adjuvants alimentaires. Les uns comme les autres participent à la beauté de la chevelure.
Les produits de soin
Les produits naturels
Ce sont les recettes de grand-mère bien connus : quelques gouttes de vinaigre ou de citron dans la dernière eau de rinçage permet de donner aux cheveux un brillant dû à la dissolution du calcaire et au resserrement des écailles de la cuticule du cheveu. Les décoctions de feuilles de noyer donnent des reflets aux cheveux châtains qui n’ont subi ni coloration ni permanente.
On peut également dégraisser les cheveux avec des argiles et au contraire graisser les cheveux secs avec de la moelle.
Les produits industriels
Leur nombre est considérable. On distingue cependant :
Les huiles naturelles : le monoï par exemple, utilisé en été pour éviter le dessèchement du cheveu.
Les lotions, qu’elles soient huileuses, aqueuses ou alcoolisées, dont la composition est destinée à soigner des cheveux trop secs, trop gras ou envahis de pellicules.
Les applications de crèmes ou de gels après le shampooings et après le rinçage. Leur rôle est d’assouplir et des faire briller la chevelure. Le plus souvent, ces produits sont rincés après une dizaine de minutes de temps d’action.
Les crèmes à la moelle ou les bains d’huile sont, eux, appliqués avant le shampooing.
Les produits de beauté
Ils sont encore plus nombreux : les teintures, les décolorations, les gels coiffants...
Les teintures et les colorations
Les produits naturels sont utilisés depuis longtemps : henné (roux), brou de noix (brun), indigo (noir), camomille allemande et rhubarbe (doré). Ces colorants sont repris dans de nombreux shampooings et nécessitent un long temps d’imprégnation : la coloration apportée est passagère et disparaît en quelques lavages. Ils ont l’avantage de ne pas agresser le cheveu, mais ne peuvent cacher les cheveux blancs ou décolorés.
Les colorations directes : ce sont des mousses ou des crèmes contenant des pigments qui se fixent sur le cheveu. Elles ne peuvent pas éclaircir la couleur naturelle.
Les colorations permanentes sont beaucoup plus agressives que les colorants naturels car elles dessèchent le cheveu et le fragilisent, sans compter les risques d’allergie car il s’agit de teintures chimiques. Elles ont toutefois l’avantage de couvrir totalement la chevelure, y compris les cheveux blancs ou décolorés, de disposer d’un grand choix de couleurs naturelles et d’être associables à une permanente à condition d’être faite après ou avant celle-ci. Les colorations ne disparaissent pas aux différents shampooings. Seul écueil, la repousse du cheveu sera de la couleur naturelle : la conséquence est que peu à peu, celle-ci revient en commençant par les racines, ce qui peut n’être pas forcément esthétique. D’où l’intérêt parfois de ne faire que des mèches et non la chevelure en entier.
Il faut éviter un rythme trop soutenu, car le cheveu finit par se fragiliser.
Les décolorations
C’est le contraire. Les produits contenant de l’oxygène, des agents oxydants ou de l’ammoniaque sont fortement décolorants. La couleur de base est le jaune paille auquel on donne des nuances grâce à des colorants légers. Ces décolorations sont agressives pour le cheveu qui devient plus terne et parfois un peu filasse.
Les permanentes
Le principe est de s’attaquer à la raideur du cheveu en lui donnant des ondulations plus ou moins importantes. Un agent chimique dénature la kératine du cheveu et la rend plus élastique, tandis qu’un agent physique (les rouleaux) étire la fibre du cheveu. Il suffit alors de rétablir la cohérence de la kératine grâce à un produit fixateur, ce qui donne un dénaturation permanente du cheveu. La permanente sera d’autant plus frisée que les produits seront alcalins. Les permanentes ne doivent pas être utilisées de façon ...permanente, car le cheveu risque d’en souffrir à long terme. Il faut lui laisser le temps de se régénérer et alterner les périodes de cheveux raides et de cheveux frisés.
Les laques
Elles ont pour objet de maintenir la coiffure en place. Elles peuvent avoir tendance à maltraiter le cheveu si on en applique de façon journalière. Il faut donc savoir se modérer en la matière.
Les gels
Ils apportent une tenue au cheveu et sont sans inconvénients pour les cheveux.
Les adjuvants alimentaires
Leur rôle est d’apporter les éléments dont le cheveu a besoin : les acides aminés soufrés (cystéine et méthionine) que l’on trouve en particulier dans les haricots, l’ail et l’oignon.
Les aliments riches en vitamine B : les germes de blé, la levure de bière, la gelée royale.
La vitamine B5 (l’acide pantothénique) évite au cheveux de devenir dur et cassant. La vitamine B8 (biotine) a une action sur le blanchiment des cheveux et leur chute. Ces vitamines existent en comprimés ou en injection.
Les oligo-éléments à base de zinc ont l’avantage de réguler la sécrétion de sébum et d’aider à la synthèse de kératine. Ils sont présents dans les huîtres, les crustacés, les noix, les amandes, le foie de poisson et le foie.
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Cheveux gras
Ils sont dus à une peau globalement grasse (ou hyperséborrhéique), souvent lors de la puberté, alors que l'inondation hormonale par les glandes sexuelles, déclenche une sécrétion massive de sébum. Celui-ci secrété à la base du cheveu, va remonter progressivement le long de la tige et graisser l’ensemble de la chevelure. Cet excès de sébum est dû à la production d’hormones mâles dont les femmes ne sont pas exemptes, en particulier au moment de l’adolescence.
Les shampooings
L'utilisation de shampooings trop agressifs ne fait qu'accroître le sécrétion de sébum, ce qu’on appelle une hyperséborrhée réactionnelle . Lavés le matin, les cheveux sont à nouveau gras le soir.
Il faut donc utiliser des shampooings peu agressifs. Plus un shampooing mousse, plus il contient d'agents tensioactifs nettoyants, mais aussi irritants, qui vont stimuler anormalement les glandes sébacées .
En revanche, plus un shampooing est doux et respectueux du cuir chevelu, moins il mousse, ce qui fait croire à tort qu'il ne nettoie pas et le rend moins attractif. On peut également utiliser des shampooings traitants à base de goudron ou de soufre, d’huile de cade ou de bois de Panama.
Le traitement
Chez les jeunes femmes, l’utilisation d’une contraception à base d’anti-androgènes, permet une régularisation de la sécrétion de sébum et une amélioration nette de la séborrhée en général.
La vitamine A acide représentée par le Roccacutane ® est active sur la séborrhée en général, que celle-ci siège au visage ou au cuir chevelu. Dans ce cas, la coexistence de l’acné et des cheveux gras justifie un tel traitement.
En revanche, une hyperséborrhée isolée du cuir chevelu ne le justifie pas. Quoi qu’il en soit, un tel traitement ne peut être mis en route que si une contraception est mise en route chez la femme, car ce produit entraîne des malformations foetales graves.
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Re: beauté des cheveux
Cheveux secs
Un cheveu est sec quand il est terne, cassant, et rêche au toucher.
Les causes
Cette sécheresse a pour origine le cheveu lui-même qui par nature a une cuticule en mauvais état. Mais elle peut également être due à des traitements trop agressifs : shampooings non adaptés, colorations ou permanentes trop fréquentes, brushing trop fréquents ou avec un fer trop chaud, séchage au séchoir sur une position trop chaude, excès de soleil ou de plage, bains trop fréquents en piscine dont le chlore finit par attaquer les cheveux.
Dans d'autres cas, une maladie est en cause : hypothyroïdie par exemple, maladie de Cushing .
Le cas particulier des cheveux fourchus
Dans ce cas, le cheveux se divise en deux au niveau de la pointe. Le résultat est une impression d'extrémités filasse, un peu comme une chevelure qui partirait en étoupe.
Le seul remède est de couper les pointes car il n'existe pas de moyen actuel de recoller les deux parties du cheveu. On peut également choisir une coupe mi-courte que l'on effectue régulièrement, qui a pour effet automatique de supprimer les fourches, celles-ci étant dues à une vieillissement prématuré du cheveu.
Traitement
La seule solution est de supprimer les causes extérieures qui agressent le cheveu : limitation des brushing, permanentes, colorations et décoloration.
Utilisation de shampooings doux, peu moussants.
Utilisation de baumes et de crèmes après shampooings dont le rôle est de gainer le cheveu et de lui redonner de la brillance.
L'emploi de gélatine que l'on associe avec un traitement à base de soufre en oligo-éléments et de vitamines du groupe B, permet d'améliorer la situation.
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Re: beauté des cheveux
chute de cheveux
Définition :
Quand on parle de chutede cheveux, il s’agit de celle qui dépasse les 10 à 20 cheveux quotidiens qui peuvent rester sur le peigne.
Elle est le témoin d’une accélération de la phase finale du cycle du cheveu (phase télogène) ; le problème, c’est que cela donne un aspect dégarni quand trop de cheveux chutent en même temps.
Quand la chute de cheveux laisse des zones de peau lisses et sans cheveux, on parle de calvitie
Qu’est-ce qui se passe ?
La vie du cheveu normal dure de 5 à 7 ans, et il a un potentiel de 25 à 30 cycles.
Pourquoi est-ce plus court chez certains et à certains moments ? La sensibilité aux androgènes, qui facilitent la chutedes cheveux, est déterminée génétiquement en grande partie, mais s’ajoutent les effets des stress intenses, qu’ils soient psychologiques ou par maladies sévères, dont le mécanisme est mal connu.
Le médecin pratique un trichogramme pour savoir quelle est la vitesse de chutedes cheveux et l’espoir de repousse.
Il existe 2 zones : l'une qui est dépendante des androgènes (qui sont les hormones mâles comme la testostérone ) et qui va être le siège de la tonsure habituelle des hommes chauves ; l'autre, qui est indépendante de la testostérone et qui donne un aspect de chute diffuse.
Les moyens disponibles :
Les grands classiques :
Pour les causes non hormonales, on emploie les cures de vitamines B, d’oligo-éléments en fonction des carences supposées, d’acides aminés (les éléments de base des protéines) soufrés et non soufrés, pour apporter au cheveu les éléments utiles. En particulier, la carence en fer lorsqu'elle existe sera corrigée par des médicaments prescrits par le médecin.
Les lotions à base de soufre ou rubéfiantes : on essaie soit d’apporter par voie externe les éléments utiles, soit de stimuler la circulation.
La progestérone en lotion, comme anti-androgène, a un effet modeste.
Il faut surtout éviter les tractions excessives sur les cheveux, les agressions cosmétiques trop souvent répétées (permanentes, colorations...).
L’excès de séborrhée est toujours traité : ce n’est pas tant parce qu’elle étouffe le cheveu comme on dit, mais elle est témoin d’une hypersensibilité hormonale du cuir chevelu.
Ceux qui deviennent les classiques de maintenant :
Le minoxidil en lotion : médicament peu intéressant quand il était employé contrel’hypertension, on s’est aperçu qu’il pouvait favoriser la pousse des cheveux.
Le finastéride: médicament de la prostate, il est utilisé comme anti-androgène, à doses plus faibles, pour les cheveux.
Et l’aminexil, rare cosmétique à avoir été étudié comme les médicaments, qui peut lui aussi augmenter la densité des cheveux.
Ils ont fait leurs preuves pour ralentir la chute et stimuler la repousse, mais attention : ils ne peuvent agir que s’il reste un follicule pileux actif, donc sur les zones encore jeunes quant à la perte de cheveux. Voyez votre médecin ou un dermatologue pour évaluer au mieux les possibilités.
Pour la femme :
La pilule ou le traitement hormonal substitutif de la ménopause peuvent utiliser comme progestatif l’acétate de cyprotérone, anti-androgène : l’effet est inconstant et très progressif.
Le minoxidil est possible, mais attention au risque de pilosité augmentée sur les tempes.
La chirurgie
Elle est réservée aux chutes de cheveux localisées dans lesquelles le cuir chevelu possède les éléments vasculaires suffisants, ou lorsque les cheveux déjà existants sont suffisants pour envisager de repiquer des cheveux en zone glabre.
Les greffons
On réimplante des cheveux dans le cuir chevelu, soit par groupes de cheveux (problème de l’effet poupée où les cheveux sont groupés par paquets) soit un par un. L’implantation est faite sous anesthésie locale.
On peut implanter des cheveux artificiels, mais ils présentent des problèmes de rejet. Cette technique est peu à peu abandonnée ou réservée aux cas où la personne n’a pas assez de cheveux en zone non glabre.
Les lambeaux de rotation
On distend la peau d’une zone couverte de cheveux, au moyen de ballonnets implantés sous la peau. Puis on décolle cette peau distendue et on la suture en tension dans une zone de peau chauve qu’on a auparavant découpée.
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Re: beauté des cheveux
Calvitie
Définition :
La calvitie désigne la perte progressive et définitive des cheveux sur une zone plus ou moins étendue du cuir chevelu. Elle est peut donc être partielle ou totale. Il y a une grande part de génétique dans son apparition.
Si la perte de cheveux est brutale, les causes sont différentes, et on appelle plutôt cela une pelade.
Comment cela se passe :
Normalement, le cheveu a une vie de 5 à 7 ans, et peut se régénérer au cours de 20 à 30 cycles, ce qui dure largement toute une vie.
Mais la génétique, en exacerbant la sensibilité aux androgènes, qui ont tendance à raccourcir leur durée de vie, en décide autrement : le bulbe s'atrophie progressivement et les cheveux deviennent plus fins avant de ne plus repousser.
Vous pouvez consulter à deux périodes différentes :
Lorsque la calvitie est encore peu étendue
Il reste encore des cheveux dans les zones dégarnies, ce qui vous fait repousser le problème à plus tard. Mais vous connaissez votre potentiel héréditaire, et voudriez éviter de devenir comme votre père. Il y a maintenant moyen de freiner la perte des cheveux.
Ou bien la perte est déjà bien visible, avec une tonsure.
On ne peut pas faire revenir médicalement les cheveux disparus : pour ces zones, cela relève des interventions de chirurgie esthétique. Il est toujours possible de freiner l'évolution dans les secteurs encore actifs.
Les moyens d'action en dehors des soins spécialisés :
Ce sont ceux employés contre la chute de cheveux : médicaments ou lotions essentiellement.
Les moyens de la chirurgie esthétique :
Les greffes ou implants :
Avant, on faisait des implants de 20 à 30 cheveux, ce qui donnait un effet de plantation .
Maintenant, ce sont des micro-greffons de 1 à 2 cheveux pour le devant, de 7 maximum pour l'arrière, qui sont choisis en fonction de l'orientation de leur pousse, coupés très courts et prélevés soigneusement à la main.
L'intervention se fait sous neuroleptanalgésie (les neuroleptiques vous calment bien sans vous endormir totalement, associés à des médicaments contre la douleur) ou simple anesthésie locale .
Le médecin découpe une fine bande sur la couronne, partie qui garde ses cheveux (elle est insensible aux androgènes) et découpe ses micro-greffons, qu'il implante un par un selon le sens du cheveu. Il peut implanter 300 greffons sur une séance.
L'intervention est indolore, il n'y a pas de pansement. Il faut laver doucement le cuir chevelu tous les jours. Des croûtelles tombent en 5 à 15 jours.
La prise est rapide, et pas d'inquiétude avant le sixième mois pour juger de l'effet : les cheveux sont prélevés à des stades différents de leur cycle, et certains ne repoussent qu'au bout de ce délai.
Il faut de 1 à 4 séances, à un mois d'écart. Chacune coûte de 1800 à 2200 Euros.
Ne vous laissez surtout pas tenter par les implants de cheveux synthétiques : ils entraînent des risques de rejet importants, des infections risquant de faire mourir les follicules pileux voisins.
Quand la surface est trop grande :
La simple réduction de tonsure : elle consiste à enlever une zone dégarnie et à suturer bord à bord, pour diminuer la surface dégarnie. Elle est forcément limitée car il ne faut pas avoir une cicatrice sous tension.
Le lambeau avec rotation : il est employé si une zone chevelue peut être diminuée au profit d'une zone dégarnie voisine, avec une implantation des cheveux dans le bon sens une fois que le lambeau a pivoté (l'axe du pivot garde sa vascularisation).
Ces deux interventions se font au moins sous neuroleptanalgésie, ou bien anesthésie générale .
La technique d'expansion cutanée avec un expanseur sous la peau : on le gonfle régulièrement avec de l'air ou du sérum physiologique, pour distendre progressivement le cuir chevelu. Elle n'est pas tolérable en chirurgie esthétique car il faut plusieurs semaines de gonflage, obligeant à un arrêt de travail prolongé car on n'est guère présentable....
Une technique dérivée est en train de se développer : l'extension en longueur. Le chirurgien pratique une première réduction de tonsure limitée, et place en même temps un extenseur, lame avec des crochets à ses extrémités, qui peut doubler sa longueur. Ce système agit pendant un mois, puis il est enlevé lors d'une deuxième intervention avec une réduction plus large. Il complète ensuite avec des greffons. Elle est peu douloureuse, et coûte environ 4500 Euros.
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Re: beauté des cheveux
Cheveux et saisons
Les cheveux sont agressés par les éléments extérieurs (vent, pluie, soleil) ; de plus ils vieillissent et se raréfient avec l’age. Raison de plus pour les soigner. Les saisons extrêmes (hiver, été) ne sont pas favorables aux cheveux. De même, l’automne provoque une chute des cheveux modérée et un aspect plus terne. Finalement la saison du cheveu, c’est...le printemps.
Les cheveux au printemps
Emprisonnés dans des bonnets, agressés par le froid, la pluie, les séchages répétés, les cheveux, au sortir de l'hiver, sont souvent mal en point. Quelques règles pour retrouver une parure de rêve.
Coupez-les. Quelques centimètres suffisent pour éliminer les fourches et leur redonner du pep's.
Adoptez les shampooings au pH neutre pour bien les débarrasser de leurs impuretés et appliquez ensuite un après-shampooing adapté à leur nature et à leurs besoins.
Rincez-les de préférence à l'eau tiède vinaigrée. Une vieille recette qui n'a pas son pareil pour redonner brillance aux cheveux.
Nourrissez-les une fois par semaine avec un masque capillaire (René Furterer, Artec) que vous laisserez poser au moins une heure. Pour plus d'efficacité, enveloppez-vous la tête dans une serviette chaude et légèrement humide.
Protégez les avec un capillaire solaire. Plus légers que les huiles, ils n'alourdissent pas la chevelure et la protègent du soleil.
Offrez leur, si vous le pouvez, un soin en Institut. Au programme, un examen approfondi de vos cheveux à l'aide d'un capilloscope, établissement d'un programme de soins personnalisés avec massage du cuir chevelu, application de masque spécifique sous vapeur d'ozone. (René Furterer). Même le cheveu le plus terne et le plus abîmé ne résistera pas à tel bain de jouvence.
Les cheveux en été
Là, c’est le même problème mais pour des raisons inverses : le soleil, le vent, le sel, le sable, le chlore des piscines contribuent à les agresser : les cheveux deviennent secs, cassants, difficiles à démêler, fourchus en pointe, ce qui donne un aspect ébouriffé et terne.
D’abord les laver le moins possible avec des shampooings, qui devront dans tous les cas être des shampooings doux. Le rinçage doit se faire à l’eau douce, l’idéal étant l’eau de pluie ou l’eau minérale. De la même façon, un rinçage quotidien à l’eau douce sans shampooings est le meilleur garant de le débarrasser des impuretés accumulées au cours de la journée (sel, sable, etc.).
Ensuite, utiliser des crèmes ou des masques après-shampooings : ils sont appliqués sur les cheveux mouillés et lavés en les laissant agir une bonne dizaine de minutes.
Enfin, il faut les protéger en les gainant au moyen d’un produit protecteur de type gel, spray ou huile.
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Re: beauté des cheveux
Le cycle de vie d'un cheveu
Bien que composé de kératine, le cheveu est différent du poil. Il est constitué d’une racine qu’on appelle le bulbe, et d’une tige. Seule cette dernière partie est visible, le bulbe n’étant accessible qu’en arrachant le cheveu.
Quelques chiffres
Il existe environ entre 100.000 et 150.000 cheveux sur le crâne.
Leur nombre dépend de leur calibre (entre 100 et 150 microns), de leur localisation (le duvet se voit sur tout le crâne chez l’enfant et sur le pourtour du crâne chez l’homme chauve) et enfin de leur implantation (serrée, éparse, etc.). Le nombre de cheveux diminue avec l’âge.
Le cheveu pousse un peu moins de 0, 5 mm par jour, soit 1,5 cm par mois environ, les femmes ayant une repousse plus active que les hommes. Les enfants à la naissance ont 100 % de leurs cheveux en phase anagène, ce qui est nécessaire pour éliminer le duvet de leur crâne. Puis au bout de quelques semaines, le cycle se modifie pour se calquer sur celui de l’adulte. La repousse a lieu vers le 6ème mois, ce qui correspond d’ailleurs souvent avec le moment où l’enfant commençant à passer à la position assise, n’a plus sa tonsure due au contact permanent de sa tête avec l’oreiller. Le pourcentage de cheveux anagènes qui était de 90%, va peu à peu tomber à 80%, qui est le pourcentage normal.
La surface de cheveux est importante : un chevelure de 20 cm de long représente une surface de 6 à 8 mètres carrés !
Les saisons auraient une influence, les cheveux poussant plus au printemps et tombant plus en automne. Au delà de la symbolique que l’on pourrait chercher entre les cheveux et les feuilles des arbres, il semble plus sérieusement que cela soit dû à des variations hormonales sous la dépendance d’influence lumineuse (soleil) enregistrées par le cerveau.
En revanche, l’idée selon laquelle la tonte fortifierait le cheveu, n’a jamais été mis en évidence et reste une idée reçue.
Structure
Le bulbe pilaire est la partie initiale et renflée du cheveu. Elle est insérée dans une cavité creusée dans la peau où le bulbe vient se loger. Chaque bulbe est nourri par des petits vaisseaux très fins et des capillaires. Le cheveu est en mesure de se redresser grâce à un muscle arrecteur commandé par les catécholamines qui sont des hormones fabriquées par la glande médullosurrénale et qui sont libérées en cas de stress. C’est ainsi que la peur fait se dresser les cheveux sur la tête . Est annexée à ce bulbe une glande sébacée dont l’excès de fabrication de sébum donne les cheveux gras.
La tige est constituée de kératine organisée en trois couches : la cuticule, externe, composée de sortes d’écailles disposées un peu comme les ardoises d’un toit ; la couche moyenne est la corticale. C’est elle qui referme la mélanine qui va donner aux cheveux leur couleur ; la médullaire, enfin, se trouve au centre et donne au cheveu sa tenue.
Le cycle de vie du cheveu
Il existe 3 phases :
La phase de croissance (dite anagène), au cours de laquelle un bulbe pilaire se met à pousser dans sa loge, grâce à l’apport sanguin des vaisseaux du bulbe pilaire. Le vieux cheveu en place est alors éliminé. Le nouveau cheveu va se développer et croître. Cette période dure de 3 à 10 ans.
La phase de disparition du cheveu (phase catagène) : le vaisseau sanguin ne délivre plus autant de nutriments au cheveu, ce qui fait que le bulbe est moins bien nourri : sa base a tendance à s’amincir, ce qui l’amène naturellement à moins bien tenir dans sa loge. Cette période dure 2 à 3 semaines.
La phase de repos (phase télogène). Le cheveu ne pousse plus, il n’est plus nourri par le vaisseau car il s’en est trop éloigné. Le bulbe pilaire doit attendre 3 à 4 mois qu’un nouveau cheveu en dessous se mette à pousser.
Ces phases sont mise en évidence par le trichogramme .
Environ 80% des cheveux sont en phase anagène, 10 à 15% en phase télogène. Cela signifie qu’il y a peu de cheveux en phase catagène.
On ne perd en général que 40 à 100 cheveux par jour, ce qui est une perte normale, non pathologique, immédiatement compensée par l’apparition de nouveaux cheveux. Il existe donc un équilibre parfait. C’est la rupture de cet équilibre qui aboutit à une alopécie .
Les influences hormonales
Le bulbe pilaire est sous influence directe des hormones mâles, celles-ci ayant une responsabilité évidente dans la chute des cheveux : c’est ce qu’on appelle l’alopécie androgénétique qui se manifeste par une perte des cheveux systématique chez tous les hommes de la même famille. On voit la même chose chez les femmes qui fabriquent trop d’hormones mâles. Les femmes en fabriquent en faible quantité, ce qui explique sans doute qu’elles soient rarement chauves.
Les oestrogènesont en revanche une action différente : ils retardent la croissance du cheveu, mais prolongent la durée de la phase anagène. Lors de la ménopause, et en raison de la chute de leurs hormones sexuelles, les femmes ont tendance à perdre un peu leurs cheveux : ceux-ci deviennent plus ternes et cassants. De même, lors du 2ème et 3èmetrimestre de la grossesse, 90% des cheveux sont en phase anagène. La conséquence après l’accouchement peut être une chute des cheveux très angoissante, mais tout à fait normale. Tout rentre dans l’ordre 3 mois après. Cette chute de cheveux est importante à connaître car elle participe à l’effet dépressif qui existe après la grossesse, le baby blues .
Dernier point, les femmes (sauf maladie particulière) ne deviennent jamais chauves, ce qui confirme l’influence de ses hormones sur la croissance de ses cheveux.
Les hormones thyroïdiennesont une action certaine, puisque les hypothyroïdiesentraînent une perte des poils, une chute de cheveux et des cheveux qui deviennent fins et secs.
Les variations des cheveux
Les cheveux blancs sont un signe de vieillissement et sont dus à une diminution de la fabrication de mélaninepar le bulbe et présente dans la couche moyenne du cheveu. Il est plus marqué chez l’homme que chez la femme et débute à partir de la quarantaine sur les tempes pour gagner le reste du crâne. Des chocs psychologiques intenses peuvent provoquer la chute des cheveux, mais aussi leur blanchiment en très peu de temps.
Le soleil, et les ultraviolets en particulier attaquent la mélanineen l’oxydant, ce qui diminue la couleur foncée et provoque chez les personnes blondes, châtains ou rousses un éclaircissement de la chevelure.
Les cheveux sont raides ou bouclés pour plusieurs raisons : l’implantation du follicule pileux perpendiculaire à la peau contribue à ce que les cheveux soient raides, alors qu’une implantation oblique, les rend bouclés. Mais la section du cheveu joue également un rôle : les cheveux raides ont une section ronde, les cheveux bouclés une section ovale et les cheveux frisés une section aplatie. Tout cela est bien entendu sous influence génétique.
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Re: beauté des cheveux
Problèmes de cheveux
Qui dit problèmes ne dit pas forcément maladie du cheveu. A l'inverse qui dit maladiedu cheveu ne veut pas dire que la cause est seulement due aux cheveux car de nombreuses maladies influent sur les cheveux. Voici les problèmes les plus fréquents.
Les cheveux secs
Ils sont ternes, cassants, fourchus, impossible à démêler et à coiffer.
Leurs écailles sont abîmées, hérissées ; les glandes sébacées ne secrètent pas assez de sébum. En fait, ils manquent de corps gras et d'eau.
Les causes les plus fréquentes :
Suite de l’été (vent, mer, soleil).
Frisage, séchage, crêpage, brossage ou décoloration trop agressifs.
Mis à part certains traitements agressifs du cheveu qui peuvent en être la cause, ce n'est généralement pas un problème d'adolescent.
Les cheveux gras
Là c'est le contraire : luisants, huileux, et gras au toucher.
Le sébum venant de la glande envahit complètement le cheveu le long duquel il monte par capillarité. Cette sécrétion de sébum est très importante durant la puberté.
Cet excès de sébum qu'on appelle la séborrhéepeut être à terme responsable de chutes de cheveux. Pas d'inquiétude pour l’instant, ce problème ne survient pas à l'adolescence, mais plusieurs années plus tard.
Les cheveux fourchus
La pointe des cheveux se termine en forme de fourche.
Résultat la chevelure parait toujours ébouriffée et indisciplinée.
Les causes les plus fréquentes sont :
un séchage avec de l'air trop chaud,
ou un brossage avec des brosses trop dures,
des permanentes trop poussées.
Bref une agression calorique ou mécanique du cheveu.
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Re: beauté des cheveux
Problèmes de cheveux à l'adolescence
Les cheveux sont très importants lors de l'adolescence.
D'abord ils permettent de se démarquer : pour ceux qui ont vu des reportages sur les années 60, les cheveux longs étaient un moyen de contestation de la jeunesse de l'époque. Ça n'a pas beaucoup changé, et de nombreux ados ont des conflits incessants avec leurs parents à propos de leurs cheveux. Cela fait partie de la psychologieau cours de la puberté.
Ensuite, ils font partie des instruments de la séduction, pour approcher le sexe opposé.
Et enfin, ils se transforment à cause de la puberté : d'où parfois des problèmes de cheveux gras, ou de pellicules.
Les pellicules
Les cheveux gras
Les problèmes de cheveux
La beauté des cheveux
sarihamid-
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Re: beauté des cheveux
Pellicules
Les pellicules sont avant tout un problème d'esthétique et la plupart du temps, le cheveu n'est pas menacé. Ce problème survient souvent à partir de la puberté en même temps que les cheveux gras. Et souvent, il disparaît dès que les cheveux deviennent moins gras.
Définition
4 millions d'antipelliculaires sont vendus chaque année, sur le conseil du pharmacien, du dermatologue ou en demande spontanée. Avoir des pellicules est d'une banalité affligeante et il est parfois difficile de s'en débarrasser, les pellicules évoluant par poussées ou par crises.
Le terme de pellicule vient du latin pellicula, qui signifie petite peau. Ces squames trahissent en fait la prolifération sur le cuir chevelu d'une bestiole encombrante : un champignon connu sous le nom de Pityrosporum ovale. Par chance, il n'est pas contagieux et l'on ne s'échange pas les Pityrosporum comme les poux ou la gale.
Les états pelliculaires traduisent une désorganisation de l'activité des. cellules superficielles du cuir chevelu. Celles-ci se multiplient et se renouvellent selon un processus tout à fait normal, mais ce qui est pathologique, c'est sa rapidité excessive. Au lieu de se renouveler environ tous les mois, les cellules le font trois à quatre fois plus vite. Une quantité accrûe de cellules mortes s'accumule donc à la surface du cuir chevelu, qui desquame avec excès.
Les différents types de pellicules
On distingue trois types de pellicules
Dans le cas le plus courant de pellicules simples, les particules sont blanches et fines et ne dépassent pas 0,2 mm de diamètre. Non adhérentes au cheveu, elles se détachent facilement, par simple grattage ou à la suite d'un shampooing. Hélas, elles réapparaissent rapidement. Toutefois, le cuir chevelu reste parfaitement sain, sans lésion, rougeur, ni même démangeaison.
Les pellicules qui sont en fait des squames dues au psoriasis .
Les pellicules grasses ont une tout autre allure et se présentent sous forme de plaques croûteuses, collantes et grasses, légèrement jaunâtres. Elles apparaissent sur une peau globalement grasse(ou hyperséborrhéique), souvent à la puberté, alors que l'inondation hormonale par les glandessexuelles, déclenche une sécrétion de sébum massive. Formées à partir d'un mélange de peaux mortes et de sébum, ces pellicules prédominent généralement à la lisière du front ou derrière les oreilles. Comme tous champignons normalement constitués, les Pityrosporum présents libèrent des enzymes, lesquels peuvent transformer la nature du sébum et le rendre irritant (sous forme d'acides gras libres). Si bien que le cuir chevelu est progressivement tapissé de rougeurs qui donnent souvent l'envie de se démanger, ce qui provoque des lésions et s'accompagne parfois de suintements. Ces pellicules grasses peuvent être associées à une dermite séborrhéique du milieu du visage se traduisant par des rougeurs au niveau des ailes du nez et sur le haut du front, d'apparition plus tardive.
Les causes
L'origine des pellicules reste encore mystérieuse. Mais plusieurs accusés sont sur la sellette :
La dermite séborrhéique : c'est une hyperfabrication de sébum qui constitue un nid douillet pour les microbes. Elle a tendance à devenir chronique et à évoluer par poussées. Elle nécessite un suivi médical et un traitement adapté.
Les shampooingset produits capillaires inadaptés ou trop fréquents. Le cuir chevelu est légèrement acide ce qui le protège contre les germes. Les shampooing trop basiques neutralisent cet effet et favorisent la prolifération inhabituelle du Pityrosporum ovale.
Le stress, avec son cortège de fatigue et d'émotions, qui rythment les poussées.
Les traitements anti-pelliculaires
Les shampooingset lotions antipelliculaires agissent sur plusieurs fronts : ils luttent contre la prolifération microbienne, facilitent l'élimination des squames, diminuent la séborrhée et les démangeaisons. Pour les formes les plus sévères, le médecin prescrira parfois des corticoïdes et des imidazolés.
Les shampooingstraitants sont d'origine végétale (huiles essentielles de cade). Ils contiennent en outre des produits antifongiques (contre les champignons) et des kératolytiques (substances qui détruisent les squames.
On peut encore citer l'Ichtyol ou huile de poisson. C'est en réalité un goudron soufré obtenu à partir de matières fossiles animales très riches en poisson.
Quelques questions
Les pellicules rendent-elles chauves ? Non puisque ce n'est qu'une desquamation excessive de la peau.
Les pellicules grasses sont-elles dues aux hormones sexuelles ? Oui, et on le voit en particulier au cours de la puberté.
Les pellicules grasses, c'est pareil que le psoriasis ? Non Le psoriasis est une maladie de peau très fréquente, qui donne des croûtes parfois dans les cheveux.
Il faut des shampooingsbasiques pour éliminer les pellicules ? Eh bien non ! d'ailleurs on vous l'a dit un paragraphe plus haut.
Choisir un shampooing adapté
Test à faire devant une glace : passez la main énergiquement sur vos cheveux. Si votre chandail est constellé d'une pluie de fines peaux blanchâtres, pas de doute, vous avez des pellicules sèches.
En revanche, si ce sont de grosses croûtesqui s'accrochent fermement à votre cuir chevelu, vous avez des pellicules grasses.
Dans un cas comme dans l'autre, vous devez réagir en choisissant le shampooing le plus adapté pour pellicules sèches ou grasses (composé de substances qui ont une action pharmacologique connue), voire en consultant un dermatologue.
Les shampooings traitants peuvent être utilisés en traitement d'attaque deux fois par semaine pendant un mois environ et doivent progressivement alterner avec des formules plus douces (à usage fréquent). En complément, les lotions antipelliculaires favorisent l'élimination des squames et soulagent des démangeaisons.
Plus un shampooing mousse, plus il contient d'agents tensioactifs nettoyants mais aussi irritants, qui vont stimuler anormalement les glandes sébacées. En revanche, plus un shampooing est doux et respectueux du cuir chevelu, moins il mousse, ce qui fait croire à tort qu'il ne nettoie pas et le rend moins attractif.
Enfin ce vieux remède de bonne femme, toujours utile : pensez à réacidifier le cuir chevelu en ajoutant à votre eau de rinçage quelques gouttes de vinaigre ou de citron.
sarihamid-
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Re: beauté des cheveux
Merci pour le partage hamid .
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Re: beauté des cheveux
Pas de quoi Nour et c'est avec plaisir
sarihamid-
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