L'asthme S'aggrave Lorsque Corticostéroïdes Inhalés Sont Arrêté?

by **Admin** Mon 19 Nov - 12:00

L'asthme S'aggrave Lorsque Corticostéroïdes Inhalés Sont Arrêté?

Les personnes dont l'asthme est stable et qui décident en conséquence de cesser de prendre leur contrôleur corticostéroïde inhalé se mettent à risque accru pour une exacerbation de leur maladie, les chercheurs ont déclaré à l'American College of Allergy, Asthma & Immunology (ACAAI ) 2012 Réunion scientifique annuelle.

Les lignes actuelles suggèrent que les patients et leurs fournisseurs de soins de santé penser à diminuer ou arrêter l'utilisation régulière de médicaments de contrôle lorsque l'asthme est stable, a déclaré Matthew A. Rang, MD, de la Clinique Mayo, Scottsdale, en Arizona.

Mais, selon ses recherches, ce n'est pas forcément une bonne idée chez certains patients.

«Nous avons constaté un risque accru de crises d'asthme chez les patients qui arrêtent leurs médicaments contre l'asthme chronique, mais a également constaté une importante population de personnes souffrant d'asthme qui font très bien après l'arrêt de leur médicament contre l'asthme chronique», dit le Dr Rank Medscape Nouvelles médicales .

«Nous croyons que le traitement de patients avec la moindre quantité de médicaments qui contrôle leurs symptômes et de réduire les crises d'asthme à un niveau acceptable est la meilleure façon de gérer l'asthme à long terme», at-il dit.

Un tel plan de traitement implique souvent une diminution ou même l'arrêt de l'utilisation à long terme de médicaments contre l'asthme.

Prendre une décision éclairée

«Nous voulions des données pour aider les patients et leurs fournisseurs de prendre des décisions éclairées au sujet des risques liés à l'arrêt de médicaments contre l'asthme chronique," a déclaré le Dr Rank.

Lui et son équipe ont identifié des études que les personnes choisies au hasard soit de continuer ou d'arrêter leurs faibles doses de corticostéroïdes inhalés. Ils ont ensuite regroupé les données pour former des estimations du risque. Les 7 essais de la méta-analyse avaient tous un asthme stable période de rodage de 4 semaines ou plus et une période de suivi d'au moins 3 mois.

Selon les données regroupées des essais, avec une moyenne de suivi de 27 semaines, les personnes qui ont cessé de prendre leurs médicaments après avoir été stable pendant au moins 4 semaines étaient plus de deux fois plus susceptibles d'avoir une crise d'asthme par rapport à ceux qui ont continué à prendre leur traitement (risque relatif: 2,35; intervalle de confiance à 95% [IC], 1,88 à 2,92; P<.001).

Le risque absolu en commun a montré que 16% des patients qui ont poursuivi leur traitement avait une crise d'asthme au cours des 6 prochains mois, comparativement à 38% des patients qui ont arrêté leur traitement ( P <.001).

En outre, les patients qui ont arrêté leur traitement avaient une diminution moyenne du volume expiratoire forcé en 1 seconde (VEMS 1 ) de 130 ml (extrêmes: 40 à 210 ml; P = .003), une diminution de la moyenne du débit de pointe du matin expiratoire de pointe (DEP) du 18 L / min (extrêmes: 6 à 29 L / min; P = .004), et une augmentation des symptômes de l'asthme ( P <.001) par rapport à ceux qui ont continué.

«Les médecins peuvent dire à leurs patients qui sont contrôlés par de faibles doses de stéroïdes inhalés que leurs chances d'avoir une crise d'asthme dans les 6 mois après l'arrêt sont d'environ 1 à 3, alors que leurs chances s'ils continuent sont d'environ 1 à 6," Dr Rang dit.

«Nous aimerions que nos données pour éclairer les discussions que les patients et leurs fournisseurs ont à propos de l'arrêt de leurs médicaments contre l'asthme chroniques», at-il ajouté.

Étude souligne la nature chronique de l'asthme

"C'est un article intéressant qui renforce le caractère inflammatoire chronique de l'asthme et souligne la nécessité de poursuivre les recherches dans le domaine de inflammometry», a commenté John Oppenheimer, MD, professeur de médecine clinique à l'École de médecine du New Jersey, à Newark.

«Si nous pouvions développer de meilleures mesures pour évaluer le potentiel inflammation continue malgré le contrôle des symptômes, il est à espérer que nous puissions mieux déterminer qui va maintenir un bon contrôle vs lâche avec le rétrécissement ou l'arrêt du traitement contrôleur», le Dr Oppenheimer, qui ne faisait pas partie des l'étude, a déclaré.

Dr Rank n'a pas révélé les relations financières pertinentes. Le Dr Oppenheimer rapporte relations financières avec GlaxoSmithKline, Merck, AstraZeneca, Boehringer Ingelheim, MedImmune, et Novartis.

American College of Allergy, Asthma & Immunology (ACAAI) 2012 Réunion scientifique annuelle: Résumé 40. Présenté Novembre 11, 2012.

by **nour elhouda** Sat 26 Jan - 4:34

Excellent partage,merci Smile

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