votre défaut???

Ha ha ha ha

Je laisse Koukia répondre à ma place, elle vous donnera mon défaut :rire: :rire: :rire:

Vittel wrote:Ha ha ha ha

Je laisse Koukia répondre à ma place, elle vous donnera mon défaut :rire: :rire: :rire:

je ne sais pas peut etre tu aimes manger des millesfeuilles :aimant:

nour90 wrote:pour les humais La perfection est innaccéssible et impossible à atteindre;; alors franchement quel est votre plus gros vice(s) ?

j'aimerai bien que Nour commence a nous parler de son(ses) plus gros vice(s).

Régidité et orgueil

alors pour moi ça sera !!
impulsivité et gourmandise

JE SUIS TROP ÉMOTIVE SENSIBLE ET JE PLEURE POUR TOUT ET A TOUT MOMENT
J AIME TROP LA BONNE CUISINE CELA SE RESSENT
LE DÉSORDRE EST MON PIRE CAUCHEMAR SURTOUT SUR LA TABLE DE MON BUREAU MAIS C EST UN DÉSORDRE ORGANISE

Les lois sur la contenance des sensations ne s'explique pas facilement par un mot bien précis, l'émotivité de canto, la sensibilité et la nervosité chez LibrE-d-EspriT, l'impulsivité et la gourmandise chez insomnia; on ne peut absolument pas traduire ses sentiments en langage claire. Parce qu'il éveille la pensée de causalité, une conviction bien comparable au sentiment religieux, puisqu'elle accepte un monde fondé sur la raison. Je pense avoir synthétisé en quelque sorte la pensée sur la sensation. Poser la question, quel est votre défaut??? est un réflexe qui ne détermine pas l'influence sur la pensée.
Il n'existe pas une personne au monde qui vous citera ses défauts; même si elle veux sincèrement le faire. Freud lui même éprouverais des problèmes pour y arriver. "mais bon je trouve la question amusante"

milord wrote:Les lois sur la contenance des sensations ne s'explique pas facilement par un mot bien précis, l'émotivité de canto, la sensibilité et la nervosité chez LibrE-d-EspriT, l'impulsivité et la gourmandise chez insomnia; on ne peut absolument pas traduire ses sentiments en langage claire. Parce qu'il éveille la pensée de causalité, une conviction bien comparable au sentiment religieux, puisqu'elle accepte un monde fondé sur la raison. Je pense avoir synthétisé en quelque sorte la pensée sur la sensation. Poser la question, quel est votre défaut??? est un réflexe qui ne détermine pas l'influence sur la pensée.
Il n'existe pas une personne au monde qui vous citera ses défauts; même si elle veux sincèrement le faire. Freud lui même éprouverais des problèmes pour y arriver. "mais bon je trouve la question amusante"

Je vous mets comme réponse la réflexion suivante qui s’appuie sur un commentaire célèbre des Hikam, celui du saint marocain Sidi Ibn Ajiba mort en 1809

Je pense que même que c 'est un peu long cela éclaircie ce que le EGO est, et la suprématie des races comme patrimoine exclusif ce qui est seulement en réalité que le propre orgueil humain de ce croire sans défauts apparents ou tout le contraire s'en placer un nombre incommensurable qui ne va convaincre personne, ce qui nous fait revenir comme un cercle fermé à l'EGO ce qui donne comme résultat la fausse modestie , qui est le pire des défauts

Cette sapience est la première des hikam, et ce n’est sans doute pas par hasard. Au moment d’entamer son chemin sur une voie spirituelle, l’Homme ne doit pas se bercer d’illusions : "nous sommes tous pécheurs", comme le proclamait Jésus (Issa) lui-même. L’engagement ne va pas supprimer le péché originel, et transformer l’être en quelques secondes. Bien au contraire, comme l’indique un maître soufi, "le fait de prendre conscience de ses propres défauts, c’est la marque que le secret spirituel pénètre dans le cœur du disciple". A la lumière d’une conscience nouvelle, d’un regard renouvelé, le disciple va peu à peu prendre conscience de son état véritable. Installant un observateur aux tréfonds de lui-même, il découvre les suppositions qui sous-tendent ses suppositions, et les motifs véritables de ses actions : "Rien ne te mène autant que l’illusion" (hikma 56). Cherchant à voir les choses telles qu’elles sont, sa sincérité le pousse à dépasser les explications rassurantes et toutes les bonnes raisons dont il se contentait auparavant, pour aller plus avant dans la découverte de lui-même. Au fur et à mesure qu’il découvre les illusions qui le gouvernent, il prend conscience de l’immensité de la tâche à accomplir. Pour se purifier, il lui faudra sans cesse démasquer les ruses et les pièges de son ego, toujours renouvelés. Le risque, dans cette première étape, c’est que le disciple baisse les bras, qu’il perde l’espoir quant à la possibilité de parvenir au but qu’il s’est fixé.

Mais ce serait ne compter que sur ses propres forces. Comment un homme endormi pourrait-il se réveiller lui-même ? Dès l’abord, Ibn Ata Illah nous met donc en garde contre ce genre de piège. Il ne s’agit pas d’installer en notre âme un juge, mais un simple observateur. Il ne s’agit pas de décider par nous-mêmes si nous sommes capables ou non de suivre ce chemin, mais de s’ouvrir à un autre mouvement, qui est celui de la grâce divine. Plus loin, la hikma 133 l’exprime clairement :

"Si tu ne pouvais arriver jusqu'à Lui qu’après l’extinction de tes mauvais penchants et la disparition de tes prétentions, jamais tu n’y parviendrais. Mais s’Il veut te faire arriver jusqu'à Lui, Il couvrira tes qualités des Siennes, et tes attributs des Siens, Il t’attirera jusqu'à Lui par une faveur qu’Il t’accordera, et non pas par suite de tes efforts vers Lui". C’est donc cette grâce, et elle seule, qui peut nous transformer réellement ; tous nos efforts et toutes nos oeuvres ne sont que des moyens pour s’ouvrir à elle, pour se mettre en disposition de recevoir. Comme l’indique une autre hikma, "Ne sais-tu pas que la connaissance est Son don, tandis que les oeuvres sont ton offrande ? Quelle commune mesure entre ce qu’Il te donne, et les offrandes que tu lui présentes ?

Le Coran indique lui cette nécessité de la Grâce : "Les regards ne l’atteignent pas, mais Lui atteint les regards" (VI, 103). Ce ne sont pas nos efforts qui vont nous permettre de parvenir jusqu'à Dieu, mais c’est en tournant notre regard vers Lui que nous pourrons être touchés par Sa Grâce.
Pour utiliser une autre image, ce n’est pas le fait de cultiver notre jardin qui va faire tomber la pluie. Mais lorsqu’il pleut, seuls les jardins qui ont été semés et labourés pourront voir pousser des fleurs.

BONNE LECTURE

Oui canto, le sujet en lui même est "incommensurable" depuis que le monde et monde l'intelligence humain c'est toujours posée cette question sur l'égo.
Ma pensée n'est pas très loin de ce que je viens de lire. Je ne connait malheureusement pas "Ibn Ajiba" mais ce que tu viens de rapporter là est très intéressant.

milord wrote:Oui canto, le sujet en lui même est "incommensurable" depuis que le monde et monde l'intelligence humain c'est toujours posée cette question sur l'égo.
Ma pensée n'est pas très loin de ce que je viens de lire. Je ne connait malheureusement pas "Ibn Ajiba" mais ce que tu viens de rapporter là est très intéressant.

Et bien c'est un très beau récit moi je l'aime beaucoup et en plus cela rapporte beaucoup de connaissance , puisque Freud je doute beaucoup que je puisse faire part de lui ici , je n'ai aucun inconvénient d'aller chercher à d'autres sources qui sont aussi instructives

Tout ceci nous ramène au sujet des défauts, tout être humain à des défauts car personne peut rentrer à former parti d'une Universalité comme être humain

Kalou Rinpoché est un moine Boudhiste , (il faut que vous sachiez aussi que je suis très enthousiaste des pensées de CONFUCIUS, et je suis pratiquante du TAI-CHI)
Bien revenons à Kalou Rinpoché Moine Bouddhiste, décédé je crois aux années 80, il disait dans un de ses récits que j’ai ici à la maison, que j’ai chercher pour mieux que vous compreniez mon raisonnement, la chose suivante
« « « « « L’ego est confronté : " JE " veux ce qui est bon, " JE " ne veux pas ce qui est mauvais, " JE " ne veut pas être exposé à ce qui m'est indifférent. « « « «
Pour cela moi je vous indique que ce fonctionnement de l'ego est notre conditionnement habituel dans lequel nous construisons notre propre souffrance
Il continu à dire « « « Ce sentiment que l'on a " d'ÊTRE " et " d'AVOIR " un ego ne repose sur rien, c'est simplement une illusion, l'ego n'est pas " quelque chose, c’est « le vide d'existence propre « Et cette impression n'existe que dans la combinaison des facteurs interdépendants qui la constituent. . Ce n'est pas la bonne attitude, d'abord parce qu'il n'y a pas à détruire quelque chose qui n'existe qu'illusoirement, mais simplement à reconnaître son illusion.
Une mauvaise compréhension de la nature de l'ego peut nous faire considérer celui-ci comme un " ennemi " à détruire " moi, je " donc l'ego lui-même Il s'agit d'être réaliste : nier l'ego ou refuser d'avoir des passions (des défauts et des virtus) serait illusoire. » » » »
Pour cela je dis que les défauts de chaque être humain vont en conséquence des mérites qu’on fait et parfois des frustrations que l’on a
MOI JE SUIS SENSIBLE :, mon EGO serait celui de vouloir en réalité me sentir forte mais étant donnée que l’ego ne se repose que sur la propre idolâtrie personnel je ne trouve pas cette force pour faire de mon défaut une virtus
J AIME MANGER : malgré mes efforts pour que ma force se repose sur ma volonté mon Ego ne fait que superposé mon désir de paraître mais comme il ne se repose sur aucune base ma force de volonté est annulé par mon désir d’être ou de vouloir paraître

pour moi c l hypersensibilité si non c la nervosité

je suis trop sensible

ana 3la nyati sensible je laisse la chance à tous pour me blaisser mais chui intolerante

mon défaut
naif..... euuhhhh non celui là je l'ai réglé c bon lol

bahhh on me reproche d'être trop directe, mais allah ghaleb je n'y peux rien , j'aime pas l'hypocrisie donc je ne peux pas être hypocrite, j'appel le chien par son nom