Faut-il attendre de la Science qu’elle sauve l’Humanité ?
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Faut-il attendre de la Science qu’elle sauve l’Humanité ?
Faut-il attendre de la Science qu’elle sauve l’Humanité ?
publié le vendredi 4 juin 2010
par Serge Sebestyen
Hier, c’étaient les nanotechnologies qui devaient résoudre tous nos problèmes. Aujourd’hui, c’est déjà la biologie synthétique qui prend le relais. Elle se débarrasse de Claude Bernard et de la méthode « hypothético-déductive » pour nous permettre de tout comprendre et de tout faire. Du moins est-ce le discours que tient Philippe Marlière en répondant au document communiqué par Hervé Le Crosnier.
Il me semble que ces deux textes caractérisent non seulement la controverse sur la biologie synthétique mais aussi, plus généralement, les attitudes jugées souhaitables concernant les promesses des technologies émergentes, et cela indépendamment des attitudes strictement technophobe. Celui de Hervé Le Crosnier , d’une part, celui de Philippe Marlière d’autre part. Pour le premier :« Les politiques scientifiques, les décisions de recherche, le contrôle des pratiques des laboratoires et des entreprises et enfin le refus d’une appropriation des connaissances par des brevets, véritable stratégie permettant une réelle indépendance pour une science susceptible de se pencher sur les problèmes des sociétés et de tous leurs membres, doivent rapidement venir s’inscrire dans l’agenda et les réflexions des citoyens et des décideurs politiques. »
Pour le second : « La percée réalisée par Craig Venter et son équipe porte le processus de domestication à son degré d’affranchissement informationnel, à sa vitesse de libération. Elle nous rapproche d’autant plus sûrement de l’étape où nous saurons préserver durablement les habitats naturels et la santé humaine. C’est seulement un paradoxe apparent de prédire que la réussite de la première incarnation totale d’un génome sera plus tard commémorée comme une aubaine pour l’environnement, comme une émancipation et non un asservissement de la biodiversité naturelle. »
D’un coté la volonté de subordonner le progrès technique à l’intérêt collectif en soumettant les choix à la société et en limitant l’appropriation du progrès par les intérêts privés, d’un autre coté, la même volonté de l’intérêt collectif, mais en se positionnant comme « progressiste » par l’affirmation de la supériorité et de l’efficacité de la recherche intégrée au techno marché, qui autorise toute investigation et toute application dont on peut espérer un perfectionnement.
L’histoire montre que, du moment que la science a ouvert une voie, des techniciens ont tenté de les mettre en application. Il faut observer que certaines réalisations furent payées au prix fort par des êtres humains.
Je ne citerai que trois exemples pris chacun à deux siècles d’intervalle.
La découverte de la circulation sanguine induisit des « médecins » au XVIème siècle à pratiquer les premières transfusions sanguines en apportant à des hommes du sang de cochon. Il fallu attendre bien d’autres découvertes de la science avant de sauver des vies plutôt que de les prendre.
De même, vers la fin du XVIIIième siècle des accoucheurs Parisiens se sont « lancé » dans la césarienne. Un médecin qui doutait de la technique visitait les maisons où avait été pratiqué, soit disant avec succès ce nouveau procédé d’accouchement. Un mois plus tard la famille était en deuil. Il manquait encore quelques connaissances en physiologie.
Et puis, rappelons-nous qu’à la fin de la seconde guerre mondiale, il apparut que le plutonium pouvait rayonner dans le noir. On attela un millier d’ouvrières à une tâche essentielle pour l’effort de guerre : dessiner, au pinceau, sur le cadran des montres que les pilotes de nuit devaient porter, le chiffre des heures. Elles humectaient leur pinceau en le passant sur leur langue. Les ravages du cancer ne sont apparus que des années plus tard.
Généralement, ce qui caractérise ces comportements est la certitude que la science vient d’ouvrir une voie nouvelle. Or dans ces situations, les connaissances ne sont alors que partielles, ce que les chercheurs ne savent pas (à moins qu’ils ne veuillent pas le savoir) et dès lors, les applications se révèlent relever du n’importe quoi. Les praticiens sont sûrs d’eux et les conséquences tragiques peuvent ne survenir que longtemps après.
Justement, en revenant au texte de Philippe Marlière, lorsqu’il prétend que la biologie synthétique abandonne la « démarche analytique, hypothético-déductive », au profit d’une autre démarche : « comprendre en construisant, inférer pour construire, construire pour comprendre », il fait l’impasse sur le fait qu’en décidant de produire une combinaison avec ce que l’on vient de découvrir être capable de composer (c’est-à-dire n’importe quoi), on ne pourra que comprendre que c’est n’importe quoi, et plus tard, que c’était le plus bel exemple de ce qu’il ne fallait pas faire !
Il ne s’agit ni de Pandore, ni de Prométhée. Chacun peut manier ces repères mythologiques selon ses opinions. Par contre, si l’on souhaite une référence à la Grèce, c’est d’hubris dont il faut parler concernant le comportement qui, à partir de l’incapacité à distinguer entre la recherche parfois téméraire (celle qui est indispensable) et les applications qui relèvent du « n’importe quoi », à savoir : le « après tout, je peux le faire ; pourquoi ne le ferais je pas ? »
Ainsi, lorsque Philippe Marlière rappelle le « principe que l’homme a depuis toujours modifié le vivant » et tandis qu’il précise que tout cela a commencé dès le néolithique, il convient de préciser de quoi on parle. Certes, l’homme a passé quelques millénaires pour créer à partir du loup des chiens aussi différents que le chiwawa et le doberman et sans doute a-t-il fallu bien plus que des décades pour croiser des oranges et des citrons…. Et, il est évident que tout le monde verrait avec plaisir que grâce à des manipulations génétiques, on aille beaucoup plus vite pour produire des maïs et tout autre végétal ayant besoin de moins d’eau pour être cultivés. Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit lorsque l’on introduit dans les gènes des insecticides ou des éléments permettant de lutter contre les désherbants. Car, au-delà du « n’importe quoi », il s’agit aussi de ce que Philippe Marlière défend bec et ongles lorsqu’il attaque : « Suivant cette mythologie réflexe, c’est le retour sur investissement, l’esprit de lucre qui menacent de dévaster les milieux naturels, l’agriculture et la santé publique par négligence ou par mégarde. » Eh oui, fabriquons et vendons un désherbant tel que les agriculteurs doivent acheter nos semences dont le génome protège contre ce désherbant. Qu’importe la disparition de la diversité des semences, qu’importe le risque d’un « Tchernobyl Génétique » pour le maïs mexicain puisque je ne sais pas si l’introduction de quelques gènes est susceptible d’avoir d’importantes répercussions biologiques sur la diversité génétique des variétés locales de maïs. Qu’importe donc le désastre de pans entiers du monde agricole.
Enfin, il s’agit d’un discours sur la « promesse ». Ainsi : « la réussite de la première incarnation totale d’un génome sera plus tard commémorée comme une aubaine pour l’environnement, comme une émancipation et non un asservissement de la biodiversité naturelle. »
Il y a une soixantaine d’années, tout le monde savait qu’avant l’an 2000, la « fusion atomique » aurait résolu tous les problèmes énergétiques de l’Humanité. On pouvait donc consommer sans appréhension !
Le raisonnement est le suivant : « Le progrès a apporté l’allongement de la durée de vie et l’augmentation de la consommation. La science pourra résoudre toutes les difficultés qui sont la conséquence du progrès ». Nous sommes au bord du gouffre et le prochain pas nous amènera de l’autre côté du précipice.
Et si les citoyens décidaient de leur avenir !
publié le vendredi 4 juin 2010
par Serge Sebestyen
Hier, c’étaient les nanotechnologies qui devaient résoudre tous nos problèmes. Aujourd’hui, c’est déjà la biologie synthétique qui prend le relais. Elle se débarrasse de Claude Bernard et de la méthode « hypothético-déductive » pour nous permettre de tout comprendre et de tout faire. Du moins est-ce le discours que tient Philippe Marlière en répondant au document communiqué par Hervé Le Crosnier.
Il me semble que ces deux textes caractérisent non seulement la controverse sur la biologie synthétique mais aussi, plus généralement, les attitudes jugées souhaitables concernant les promesses des technologies émergentes, et cela indépendamment des attitudes strictement technophobe. Celui de Hervé Le Crosnier , d’une part, celui de Philippe Marlière d’autre part. Pour le premier :« Les politiques scientifiques, les décisions de recherche, le contrôle des pratiques des laboratoires et des entreprises et enfin le refus d’une appropriation des connaissances par des brevets, véritable stratégie permettant une réelle indépendance pour une science susceptible de se pencher sur les problèmes des sociétés et de tous leurs membres, doivent rapidement venir s’inscrire dans l’agenda et les réflexions des citoyens et des décideurs politiques. »
Pour le second : « La percée réalisée par Craig Venter et son équipe porte le processus de domestication à son degré d’affranchissement informationnel, à sa vitesse de libération. Elle nous rapproche d’autant plus sûrement de l’étape où nous saurons préserver durablement les habitats naturels et la santé humaine. C’est seulement un paradoxe apparent de prédire que la réussite de la première incarnation totale d’un génome sera plus tard commémorée comme une aubaine pour l’environnement, comme une émancipation et non un asservissement de la biodiversité naturelle. »
D’un coté la volonté de subordonner le progrès technique à l’intérêt collectif en soumettant les choix à la société et en limitant l’appropriation du progrès par les intérêts privés, d’un autre coté, la même volonté de l’intérêt collectif, mais en se positionnant comme « progressiste » par l’affirmation de la supériorité et de l’efficacité de la recherche intégrée au techno marché, qui autorise toute investigation et toute application dont on peut espérer un perfectionnement.
L’histoire montre que, du moment que la science a ouvert une voie, des techniciens ont tenté de les mettre en application. Il faut observer que certaines réalisations furent payées au prix fort par des êtres humains.
Je ne citerai que trois exemples pris chacun à deux siècles d’intervalle.
La découverte de la circulation sanguine induisit des « médecins » au XVIème siècle à pratiquer les premières transfusions sanguines en apportant à des hommes du sang de cochon. Il fallu attendre bien d’autres découvertes de la science avant de sauver des vies plutôt que de les prendre.
De même, vers la fin du XVIIIième siècle des accoucheurs Parisiens se sont « lancé » dans la césarienne. Un médecin qui doutait de la technique visitait les maisons où avait été pratiqué, soit disant avec succès ce nouveau procédé d’accouchement. Un mois plus tard la famille était en deuil. Il manquait encore quelques connaissances en physiologie.
Et puis, rappelons-nous qu’à la fin de la seconde guerre mondiale, il apparut que le plutonium pouvait rayonner dans le noir. On attela un millier d’ouvrières à une tâche essentielle pour l’effort de guerre : dessiner, au pinceau, sur le cadran des montres que les pilotes de nuit devaient porter, le chiffre des heures. Elles humectaient leur pinceau en le passant sur leur langue. Les ravages du cancer ne sont apparus que des années plus tard.
Généralement, ce qui caractérise ces comportements est la certitude que la science vient d’ouvrir une voie nouvelle. Or dans ces situations, les connaissances ne sont alors que partielles, ce que les chercheurs ne savent pas (à moins qu’ils ne veuillent pas le savoir) et dès lors, les applications se révèlent relever du n’importe quoi. Les praticiens sont sûrs d’eux et les conséquences tragiques peuvent ne survenir que longtemps après.
Justement, en revenant au texte de Philippe Marlière, lorsqu’il prétend que la biologie synthétique abandonne la « démarche analytique, hypothético-déductive », au profit d’une autre démarche : « comprendre en construisant, inférer pour construire, construire pour comprendre », il fait l’impasse sur le fait qu’en décidant de produire une combinaison avec ce que l’on vient de découvrir être capable de composer (c’est-à-dire n’importe quoi), on ne pourra que comprendre que c’est n’importe quoi, et plus tard, que c’était le plus bel exemple de ce qu’il ne fallait pas faire !
Il ne s’agit ni de Pandore, ni de Prométhée. Chacun peut manier ces repères mythologiques selon ses opinions. Par contre, si l’on souhaite une référence à la Grèce, c’est d’hubris dont il faut parler concernant le comportement qui, à partir de l’incapacité à distinguer entre la recherche parfois téméraire (celle qui est indispensable) et les applications qui relèvent du « n’importe quoi », à savoir : le « après tout, je peux le faire ; pourquoi ne le ferais je pas ? »
Ainsi, lorsque Philippe Marlière rappelle le « principe que l’homme a depuis toujours modifié le vivant » et tandis qu’il précise que tout cela a commencé dès le néolithique, il convient de préciser de quoi on parle. Certes, l’homme a passé quelques millénaires pour créer à partir du loup des chiens aussi différents que le chiwawa et le doberman et sans doute a-t-il fallu bien plus que des décades pour croiser des oranges et des citrons…. Et, il est évident que tout le monde verrait avec plaisir que grâce à des manipulations génétiques, on aille beaucoup plus vite pour produire des maïs et tout autre végétal ayant besoin de moins d’eau pour être cultivés. Mais ce n’est pas de cela qu’il s’agit lorsque l’on introduit dans les gènes des insecticides ou des éléments permettant de lutter contre les désherbants. Car, au-delà du « n’importe quoi », il s’agit aussi de ce que Philippe Marlière défend bec et ongles lorsqu’il attaque : « Suivant cette mythologie réflexe, c’est le retour sur investissement, l’esprit de lucre qui menacent de dévaster les milieux naturels, l’agriculture et la santé publique par négligence ou par mégarde. » Eh oui, fabriquons et vendons un désherbant tel que les agriculteurs doivent acheter nos semences dont le génome protège contre ce désherbant. Qu’importe la disparition de la diversité des semences, qu’importe le risque d’un « Tchernobyl Génétique » pour le maïs mexicain puisque je ne sais pas si l’introduction de quelques gènes est susceptible d’avoir d’importantes répercussions biologiques sur la diversité génétique des variétés locales de maïs. Qu’importe donc le désastre de pans entiers du monde agricole.
Enfin, il s’agit d’un discours sur la « promesse ». Ainsi : « la réussite de la première incarnation totale d’un génome sera plus tard commémorée comme une aubaine pour l’environnement, comme une émancipation et non un asservissement de la biodiversité naturelle. »
Il y a une soixantaine d’années, tout le monde savait qu’avant l’an 2000, la « fusion atomique » aurait résolu tous les problèmes énergétiques de l’Humanité. On pouvait donc consommer sans appréhension !
Le raisonnement est le suivant : « Le progrès a apporté l’allongement de la durée de vie et l’augmentation de la consommation. La science pourra résoudre toutes les difficultés qui sont la conséquence du progrès ». Nous sommes au bord du gouffre et le prochain pas nous amènera de l’autre côté du précipice.
Et si les citoyens décidaient de leur avenir !
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TU PEUX L APPLIQUER POUR TOUT DANS LA VIE
Le raisonnement est le suivant : « Le progrès a apporté l’allongement de la durée de vie et l’augmentation de la consommation. La science pourra résoudre toutes les difficultés qui sont la conséquence du progrès ». Nous sommes au bord du gouffre et le prochain pas nous amènera de l’autre côté du précipice.
Et si les citoyens décidaient de leur avenir !
Nous sommes dans l’obligation de comprendre aussi, que tout est lié dans la vie et que toute action a une réaction.
Nous attendons toujours que l’autre soit le preneur, le porteur et celui qui va nous résoudre tout ce qui concerne le quotidien et parfois non seulement les tâches les plus simples ni les plus délicates si non les plus personnelles
Par exemple :
Nous trouvons un travail et nous y sommes installés parfois même très commodément, nous savons que nous sommes entrain de donner notre temps à notre patron à échange d’un salaire, on attend qu’ainsi soit, en même temps lui, le chef ou patron attend à se qu’on lui donne la contre partie de vous.
Nous faisons un échange de service, la société fonctionne de cette façon et toutes nos actions sont maintenant concentrées sur cela
Parfois nous pensons que cela serait le partage mais le plus souvent des cas nous pensons que si nous offrons un service que c’est seulement parce que l’autre à l’obligation de nous donner, et en plus chaque foi plus donc cela ne serait plus un partage ni un échange
Le problème est sur LE comment on pense que nos services doivent être considérés.
Le sujet est toujours le même : quand on donne une foi ou mille nous le prenons comme une obligation tantôt de celui qui donne comme de celui qui reçoit , et si en plus tu arrête de donner ou qu’on te donne la plus part du temps tu penses que l’obligation est aux autres mais pas de toi
Donc le problème consiste à toujours penser que ce sont les autres qui doivent résoudre les problèmes à ta place car le mal est que nous ne savons pas partager ni bien entendu donner
Nous sommes dépendant de ce qu’on va nous donner,
Et si les citoyens décidaient de leur avenir !
Oui se ne sont pas seulement les urnes qui vont résoudre le problème, ou les problèmes si non la propre volonté de comprendre que nous sommes obligés de faire un partage de volonté pour que cela fonctionne
Mais ma chère amie cela n’est plus possible malheureusement nous laissons ou tout pour demain ou tout LES AUTRES DOIVENT ME RESOUDRE MES PROBLEMES JE PAYE MES IMPOTS OU C EST L OBLIGATION AUX AUTRES CE N EST PAS MA FAUTE
SOURCE ""CANTO""
Et si les citoyens décidaient de leur avenir !
Nous sommes dans l’obligation de comprendre aussi, que tout est lié dans la vie et que toute action a une réaction.
Nous attendons toujours que l’autre soit le preneur, le porteur et celui qui va nous résoudre tout ce qui concerne le quotidien et parfois non seulement les tâches les plus simples ni les plus délicates si non les plus personnelles
Par exemple :
Nous trouvons un travail et nous y sommes installés parfois même très commodément, nous savons que nous sommes entrain de donner notre temps à notre patron à échange d’un salaire, on attend qu’ainsi soit, en même temps lui, le chef ou patron attend à se qu’on lui donne la contre partie de vous.
Nous faisons un échange de service, la société fonctionne de cette façon et toutes nos actions sont maintenant concentrées sur cela
Parfois nous pensons que cela serait le partage mais le plus souvent des cas nous pensons que si nous offrons un service que c’est seulement parce que l’autre à l’obligation de nous donner, et en plus chaque foi plus donc cela ne serait plus un partage ni un échange
Le problème est sur LE comment on pense que nos services doivent être considérés.
Le sujet est toujours le même : quand on donne une foi ou mille nous le prenons comme une obligation tantôt de celui qui donne comme de celui qui reçoit , et si en plus tu arrête de donner ou qu’on te donne la plus part du temps tu penses que l’obligation est aux autres mais pas de toi
Donc le problème consiste à toujours penser que ce sont les autres qui doivent résoudre les problèmes à ta place car le mal est que nous ne savons pas partager ni bien entendu donner
Nous sommes dépendant de ce qu’on va nous donner,
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Oui se ne sont pas seulement les urnes qui vont résoudre le problème, ou les problèmes si non la propre volonté de comprendre que nous sommes obligés de faire un partage de volonté pour que cela fonctionne
Mais ma chère amie cela n’est plus possible malheureusement nous laissons ou tout pour demain ou tout LES AUTRES DOIVENT ME RESOUDRE MES PROBLEMES JE PAYE MES IMPOTS OU C EST L OBLIGATION AUX AUTRES CE N EST PAS MA FAUTE
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Re: Faut-il attendre de la Science qu’elle sauve l’Humanité ?
La science regle autant de problemes qu'elle en cause, l'homme construit en detruisant c'est un cercle vicieux, et je pense que ça n'est pas pret de changer.
Shirin Ebadi- Membre actif
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Filière : Médecine
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